L’identité 2.0, telle que décrite dans la vidéo de Hardt,
visionnée au Module 6 du cours INF 6107, m’a beaucoup intéressée, malgré
la complexité de certains éléments de la présentation. À l’image de la plupart
des usagers de l’Internet, je détiens une multitude de noms d’utilisateur et de
mots de passe associés qu’il m’est bien difficile de retenir sans le soutien d’une
liste qu’il me faut fréquemment consulter.
La possibilité de créer une identité unique utilisable en
tout temps m’apparaît une solution idéale qui, aux dires de Hardt, n’est pas encore
envisageable, concurrence oblige. Pourtant, du point de vue de l’usager, une
telle formule permettrait potentiellement de vérifier la validité de l’information
recueillie, comme il est possible de le faire pour notre dossier de crédit
compilé par Équifax. Il serait également plus logique, sécuritaire – et probablement
économique – pour un fournisseur de biens ou de services d’être en mesure de
valider l’identité de ses usagers par l’entremise d’un seul ou d’un nombre très
limité de guichets uniques.
Patrice
Gauvin, dans son billet portant sur la prolifération des systèmes
d’authentification unique, n’est pas plus encourageant. En fait, il semble
indiquer, qu’à l’inverse, le nombre de fournisseur d’identification unique ira
en croissant, une solution qui ne limitera pas le nombre d’identités «uniques»
des utilisateurs.
Malheureusement, je crois que Patrice Gauvin a raison et que
nous n’en avons pas fini avec les noms d’usager et les mots de passe multiples
et ce, à mon grand désarroi…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire