vendredi 1 mars 2013

Être ou ne pas être web social, là est la question?



Déjà mon 15e billet sur différents aspects du web social! Moi qui n'ai jamais été attirée par les outils disponibles pour «réseauter»… . J'ai d’abord compris l'intérêt des agrégateurs, plus particulièrement dans un cadre professionnel. J'ai ensuite apprécié l'utilisation de signets sociaux et même encouragé mon entourage à en tirer profit. Puis est venu le blogue. Un autre moyen efficace de transmettre un message. Pour moi, c’est déjà beaucoup! Combien d’autres encore à découvrir, à apprivoiser?

Pris isolément, tous ces outils ont une utilité indéniable. C’est lorsque je tente de les intégrer tous que je commence à avoir le vertige. Le panorama des médias sociaux proposé au module 5 du cours INF 6107, qui n’est certainement pas exhaustif, m’étourdit. Que dire des nouvelles applications qui prendront naissance? Devrons-nous toujours en faire plus? Une seule personne peut-elle vraiment utiliser efficacement l’ensemble de ces services? Quelle valeur attribuer à ces relations virtuelles? Quelle place reste-t-il pour le contact humain réel dans ce monde de réseaux virtuel?

Jusqu’à présent, je perçois clairement les avantages de développer des outils du web social dans un cadre professionnel tant d’un point de vue de développement personnel que dans une perspective de positionnement et de visibilité d’une entreprise, d’un organisme. Cependant, je demeure encore perplexe quant à l’utilité des services de réseaux sociaux pour alimenter le volet personnel de ma vie. Le temps consacré à se «parler» virtuellement ne se traduit-il pas par une perte nette de temps disponible pour faire de vrais choses avec des personnes «réelles»?

Enfin, j’ai mis mon petit doigt dans un engrenage virtuel. Voyons où ça me mènera!